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Descriptif détaillé
Bandeau de la fiche | |
Affiche principale | |
Bande d'annonce | PsQFA2Xv-GE |
Le Pitch | / |
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Sébastien Marx
One man show en tournée
Vivant en France depuis 17 ans, ce New-Yorkais dépeind la société française avec son regard hilarant !
Suite au succès de son spectacle “Un New Yorkais À Paris”,
Sebastian est de retour pour de nouvelles aventures.
Après 15 ans en France, Sebastian est foutu : il est bien là…
Même s’il parle encore le français avec un accent de touriste allemand,
être un étranger n’est plus une excuse. Il doit maintenant faire face à toutes
les problématiques d’un “quarantenaire franco-juif-new-yorkais
pacsé avec 3 enfants en bas âge” : Comment réagir quand ta fille corrige
ton français, quand ta nana reçoit une banane en pleine gueule,
quand ta femme de ménage trouve ta maison “dégueulasse”,
quand t’es une cigale perdue dans un monde de fourmis ? Les choses de la vie quoi.
Sebastian prend son micro et nous raconte.
l’humoriste de 40 ans se livre enfin de manière plus personnelle et hilarante.
Son regard d’américain d’origine juive et argentine,
naturalisé français, n’a jamais été aussi réjouissant
TÉLÉRAMA SORTIR
Auteur et comédien
Sebastian Marx
Mon précédent spectacle, “Un New Yorkais à Paris”, racontait mon arrivée en France jusqu’à ce que je devienne “officiellement” français, pas uniquement grâce à la nationalité mais surtout parce que j’emploie enfin les termes typiquement français correctement. Si à l’époque je racontais comment j’ai rencontré la France, maintenant je suis dans une relation sérieuse avec elle. Après 17 ans, je ne peux plus utiliser l’excuse “je viens de débarquer ici”, alors je dois me fondre dans la masse comme un bon français avec un apéro à la main : “on est bien là”. Aujourd’hui, avec “On Est Bien Là”, je raconte le “what now?”. Now, je suis moins naïf (j’ai 43 ans quand même !) et si je suis moins coincé entre deux pays, je le suis maintenant entre mes parents et mes enfants, ma femme et les femmes, l’insouciance et l’argent, les cigales et les fourmis. Bref, je suis en pleine crise de la quarantaine dans toute sa splendeur… Et si on ajoute à ça une angoisse que j’ai héritée suite à une histoire familiale juive où chaque génération a dû fuir sa dictature, la phrase “on est bien là” peut sonner plutôt comme un appel au secours !